Western

Je ne devrais rien dire,  le vin, l’ivresse, ont dévoré ma raison. Mais voilà. Il est des heures où la joie est indécente, la jouissance impulsive, le sexe doux.
Il y a du beau dans ton ventre, Petite. De ces voyages interdits, que les corps apaisés ne connaissent plus. La vie dessinée sur ta peau, les souvenirs, tes hanches aux arrondis jouissifs. Ton indécence sans limite.
Il y a du beau à ton sexe, Baby. L’homme sur le chemin, l’éclaireur à la voix d’ivresse.
Il y a du beau à votre silence, Monsieur. Renoncer à vous goûter, comme si dévorer le ventre annulait les charmes. Je ne vous mangerai pas, je vous aimerai ça plus longtemps. Indécente, dites-vous ? Honnête, simplement.
Votre sexe dressé contre mon cul me réjouit d’ivresse. L’indécence du verbe que vous murmurez à mon oreille provoque plus encore l’humidité des rêves, comme un doigt glissé entre mes lèvres.Murmurez l’envie au creux de mon oreille, les pulsations indécentes, votre main autour de mon sein. La sensation s’affine, entre douleur et plaisir.
Et ce monde autour d’un lit, ces émois des corps jouissants, lécher le con, la chatte et le néant.

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