Déshabille toi. Tout. Enlève ces vêtements, montre-moi ton corps dans tout ce qu’il a de fort ou de fragile.
Mets-toi là, dans le divan.
Regarde-moi.
Je veux voir directement l’effet que je te fais.
Je veux observer de mes yeux, dans la blanche lumière, le moment où ton sexe réagira.
Va-t-il gonfler quand je te montrerai mes seins ?
Va-t-il enfler quand je mettrai un téton dans ta bouche ?
Va-t-il se dresser au contact de ma peau, au parfum de mon corps ?
Quand devras-tu écarter les jambes ?
Quand je mettrai mon sexe sous ton nez ?
Quand ta langue goutera les saveurs moites de mes lèvres roses ?
Quand auras-tu envie de me pénétrer ?
Quand ma bouche embrassera ton torse ?
Quand mes cuisses seront posées de chaque coté des tiennes ?
Quand mon sexe se frottera au tien ?
Quand, accroupie sur toi, je resterai à quelques centimètres de ton gland, attendant impatiemment que tu prennes le dessus, que tu me renverses, m’écartes les cuisses et enfonces ton sexe, tes hanches, ton corps dans le mien, mes mains s’agrippant à tes fesses, nos yeux grand ouverts pour ne pas manquer le spectacle émouvant du plaisir qui nous traverse…
Maintenant ?
Pauvre légume…
«c'est compliqué»<br /><br />:-]
Un petit coup de mou, Monsieur Poireau ? Votre tige pâlit ?
Nora : merci !<br />Les autres jours sont mieux, je trouve ! 🙂
Happy Valentine, Monsieur Poireau…
Ça dépend…<br />:-)