Aux errances du temps, dans une fraction de seconde, j’ai goûté à l’infini. A sa bouche sourire, je regardais ses rêves, sa peau tramée, dans les heures six, sechs e sei.
J’ai perdu ma langue. Je te l’ai donnée, un soir, au bord de l’eau, dans le métro, sur le quai de la gare, dans mon lit. I lost your smile, au moment où ta bouche bâillonnée par mon sexe aspire l’urgence de l’air pur.
Souviens-toi nos rires, enfantillades immatures , les embrassages, les mélangeades, les envolades et les planées… Je m’égare entre hier et demain, dans les trois mille secondes que tu voles à la mort, petite mort sans larme, évade-toi, je peux être forte cinq minutes, et plier les cuisses à hurler la vie pendant que tu jouis, je peux m’abandonner fragile si tu veux me sourire dans l’absence.
I’ll be there. Even broken minded. Tu illumines quand je m’efface, et quand je renonce ta langue vient me rechercher au bord du ciel. Ce sucre à ton sexe me surprend comme une pincée de piment oubliée. Je prends l’inattendu envol vers la jouissance, un bonheur en sus.
Reviens me raconter ta peau, j’ai faim de l’eau.
Ah oui, tiens, je n'y avais évidemment pas songé en l'écrivant. <br /> <br />Réjouissez-vous, Monsieur Poireau, c'est peut-être bientôt votre tour ! ;-)<br /><br /><br />With love, XXX
Tiens, le sucre, le piment, l'eau… on revient dans le sexe nourricier ! 🙂
oh oui je libère mon esprit qui divague en ces douces collines que je gravis par la force de mon imagination… pour frôler leur sommet dressé…
Merci ! <br />Oui, les photos sont de moi… <br />Free your mind…
delicieuse évocation… est-ce le vôtre sur la photo?<br /><br />Signé body_is_a_cage