C’est ma voix dans la nuit, comme un râle de louve, comme un grondement sourd qui parle à ton ventre, à ta tête, à tes mains, à tes fesses… Prends-moi.
Prends le désir, pour durcir ton sexe, prends les mots crus, prends les fantasmes et les délires, et réinvente-moi, étreinte inconnue, à peine effleurée.
Je viens d’un autre monde, où la jouissance est puissante, comme une pénétration aux petites heures de la nuit, comme des ongles qui accrochent ton épaule, comme des dents qui mordent ta chair.
Fugaces évasions, bulles aux doigts moites, intenses plaisirs d’une univers partagé entre toi et toi, quand je glisse mes mots entre tes lèvres, quand ta main figure ma langue.
Chaque porte cochère, chaque hôtel miteux, chaque prairie au vent est notre terrain de jeux, dans la foule ou l’anonymat, mes seins contre ton torse, mes cuisses autour de tes hanches, mes yeux perdus dans tes pensées.
Là où les arbres te parlent, je te corps et te peau, je te chair et te sang, je t’humanise et te pulsionne. Toi, l’homme debout qui baissait la tête.
Elle est forte Nora pour faire erecter notre poireau 🙂
Merci Monsieur Poireau.<br /><br />Oserais-je vous souhaiter… ?
Le problème de tes articles c'est qu'ils tiennent debout, que commenter après cela ?<br />:-))