La tête sur votre épaule nue, je me pose et vous regarde un peu. Je suis venue redécouvrir la douceur de votre peau, sa chaleur, son odeur. La légèreté du regard, la pétillance de la joie, les retrouvailles allègres, le désir sourire.
Je me roule dans ces émois, libidineuses réjouissances, la joie des lettres… Ce soir, d’allégresse vous me faites la lecture, voyages imprécis, rêveries interdites, mes fesses sont votre pupitre. Inventez les mots pour dire, car je n’en ai pas assez, je risquerais de me répéter, à m’extasier follement sur votre sexe bandant, ses atours étourdissants, sa verge divergente, votre corps, mon amour. Lisez-moi donc ces vers interdits, ces dilemmes cornéliens qui vous habitent, entre m’aimer un peu ou me culbuter là tout de suite … Allons, venez-y !
Allons, venez-y…
Une bien jolie invitation au voyage charnel…<br />A suivre…