Quand j’ai commencé ? Je ne sais pas. Je crois que ça m’a pris très jeune, comme un goût magnifique, quelque chose qu’on ne peut refuser, aussi… Cette sensation de pouvoir, cette lutte délicieuse… Tu m’étouffes, je te mords. C’est ma seule défense, vous comprenez ?
Mais bien sûr, bien sûr j’en aime le goût salé, cet arôme de fruits secs, l’acide qui s’invite dans ma bouche parfois. Mais avant d’en arriver là, il y a tellement de possibles.
Je ne savais pas. Avant je mangeais, je suçais mon pouce, je mâchouillais les rêves. Et puis après je suçais des bites. Peut-être que c’est mon destin, de sucer des bites, vous ne croyez pas ? J’y prends grand plaisir : quand je suis affamée, un peu de sperme me nourrit, et l’odeur âcre et salée des sexes moites me rassasie.
Vous croyez vraiment que c’est mauvais pour ma santé ?
J’aurais dû porter plainte. Mais j’avais 11 ans, vous pensez…
@Eric : Joyeux printemps …dehors, oui 😉 <br /><br />@fp2x : Merci !
Et hop … un petit coup de pouce pour ce texte joliement tourné 🙂
Bonjour… Grâce à toi… Je comprend le goût de la chose chez Kristel… Mon joli bout de femme à toujours sucé son pouce… et elle adore donner du plaisir oralement…<br /><br />Hum… Petite question pour l'éducation national (quoi que chez nous, ce soit régionalisé…): si on prend la tutute au lieu de sucer son pouce, sucera-t-on des godes? #okjesors<br /><br />Je te souhaite un bon