De mon sexe dégoulinant, elles se repaissent. Ces félines savent parler à ma bouche, de leurs lèvres pulpeuses et délicates. Y goûter l’âcre salé, du sein délicat manger la chair douce. Egarer mes mains dans l’antre curieux, sourire alangui au creux de mes doigts. Elles sont le désir et la joie, elles sont l’évasion de mes heures, quand je veux goûter la vie en déclinaisons gémellaire. Il n’est nulle rivalité dans l’égarement féminin, nous avons six mains, et mille et une audaces à découvrir. Ma langue avide explore leurs courbes variables, des arrondis d’épaules aux creux des cuisses. Des mains caresser les pieds délicats, et remonter la chair tendre, au gré des moiteurs infinies. De l’une ou de l’autre, je ne peux choisir, et aime avec la même volupté les velours carmin, écarlate ou rosé, de leurs charmes sans nom.
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Le sentiment amoureux, cet ennemi précieux, cet amant démoniaque, m'enchante et me tue. Il est comme la langue, le pire et le meilleur…
Elle ose sans oser du dessein de ses seins offrir à son devin le nectar divin… Se laisse deviner à la langue la plus osée… Incandescente et troublante, de ses courbes me hante, devinant chaque instant le gravant de son mordant…<br />Je suis amoureux d'une prose.
Belle nuit, mesdames… Je vous emmène dans mes rêves éveillés.
Et pour les comprendre, les belles âmes, il faut se frotter à elles, les câliner, les lécher, pour jouer. Mmmmmmmmmmmmm
Voilà, j'ai chaud…<br />Ces six mains remplaceront les bras de Morphée pour m'emmener ce soir.